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 Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée]

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MessageSujet: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 3:41



Kuroo Tetsurô

SEXE → Mâle.
ÂGE → 17 ans.
GROUPE → Nekoma Kôkô.
ORIENTATION → Hétérosexuelle.
RANG → Capitaine et Bloqueur Central.
PROFESSION → Lycéen, Troisième année.
PROBLÈME DU MOMENT → N'arrive pas à se débarrasser de ses épis du matin.


•DESCRIPTION PHYSIQUE :


1m87,7 • 75,3 kg • Teint légèrement bronzé • Cheveux noirs • Yeux marrons très clairs, presque dorés • Musculature robsute

Le réveil sonnait alors que traînais encore un peu au lit. Manquant de me rendormir, le deuxième réveil fut le bon et je sortais enfin ma tête de mes oreillers, le visage encore somnolant. Je passais une main dans mes cheveux, tentant de les faire bouger ne serait-ce qu'un peu mais chaque mèche revenait désespérément à sa position initiale. Me levant de mon lit et chassant ma couette d'un coup de pied de lassitude, je trimballais alors ma grande carrure à travers la pièce, rabattant ma fatigue sur ma silhouette d'habitude droite, laissant mes longs bras tomber le long de mon corps. Des douleurs qui longaient mon dos et qui contractaient mes muscles sur chacun de mes mouvements. Je posais mes mains, serrant de mes longs doigts fins, mes côtes, caressant ma peau légèrement halée sur chacune des lignes formant ma musculature athlétique.

Bâillant encore dans l'effervescence d'une nuit qui méritait à mon goût de durer plus longtemps, je finissais dans la salle de bain. Même l'eau chaude se renversant sur ma chevelure de jais n'arrivait pas à faire chuter mes épis inébranlables. Quelques mèches tombaient au devant de mon œil droit alors que tous les autres cheveux s'ébouriffaient en l'air et devenaient incontrôlables malgré tous les efforts que je pouvais mettre dedans. Je les séchais rapidement et abandonnais une fois de plus ma coiffure dans cet effet matinal qui ne dérangeait plus personne.

Je passais un peu d'eau froide sur mon visage, essayant de chasser les cernes sous mes yeux. Le regard perçant, des airs sournois et mystérieux sur mes traits carrés et stricts. J'avais toujours ressemblé à mon père, cette expression sévère et rebelle dans une aura douteuse avec laquelle je jouais souvent. Je clignais plusieurs fois des yeux pour me réveiller complètement, me concentrant sur mes iris dorées pour laisser mes mains glisser le long de ma peau.

Je continuais de me préparer, lavant mes grandes oreilles avec quelques cotons-tiges et mettant un peu de crème sur le bout de mon pet nez légèrement pointu pour lutter contre l'adolescence. Je me brossais aussi les dents, ouvrant ma grande bouche de mes lèvres fines pour faire briller mon sourire moqueur et aux dents prononcés. Ça faisait partie de mon charme après tout, puis c'était mon caractère depuis toujours.

J'enfilais un t-shirt noir et le survêtement rouge du club, jetant mes pieds dans mes baskets. Je me hâtais d'attraper quelque à manger sur la route et je fonçais pour entamer ma journée. Passer prendre Kenma d'abord, le réveiller si besoin et direction le gymnase !


•DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE :
 → Rusé • Sournois • Bienveillant • Provocateur • Attentionné • Manipulateur • Mature • Méfiant  •

Je ne me suis jamais posé énormément de question sur qui j'étais. Je crois que j'ai juste suivi la route devant moi en espérant pouvoir me marrer le plus possible. Après tout, c'était la seule chose qui comptait vraiment, la seule chose que je voulais retenir du temps qui passe. Je n'ai jamais aimé le silence, me démerdant toujours pour avoir un peu de bruit autour de moi, un peu de vie même si c'est juste Kenma sur un jeu vidéo. J'aime avoir une présence pas loin, souffrant de ne pouvoir m'étourdir dans la solitude et chasser ce sentiment de mélancolie. J'aime sentir que j'existe et c'est ce que le volley me fait ressentir. Ça me donne une importance et un rôle de cohésion dans une sorte de tout qui ne peut survivre qu'à plusieurs. Je me suis entraîné dur pour ça, pour garder cette étincelle de passion que j'avais en moi. Ça m'a toujours donné une certaine joie de vivre même si ça s'oppose pas mal avec ce que je peux dégager.

Gamin, j'étais un peu turbulent, toujours excité au fond de la classe, intégré parmi les enfants populaires et un peu bruyants. Pourtant je n'ai jamais été dans l'excès, c'était dans ma nature d'être assez calme et posé, souvent des airs un peu arrogants accrochés au visage. Je crois que mon côté rebelle s'est estompé avec le temps, j'ai grandi et je suis devenu plus malin. Quand on a des frères et sœurs, il faut savoir se faire entendre et la taquinerie devient un peu une deuxième nature. J'ai toujours aimé la provocation, cet entre-deux qui me permettait de choir entre l'amusement et le sérieux. Ça m'avait toujours bien correspondu et c'était comme ça je me socialisais avec les autres. J'aimais bien cette image un peu fourbe, ces chamailleries amusantes qui étaient tout ce que j'avais connu. Je pensais que c'était comme ça que ça marchait, que c'était comme ça que je créerais des liens forts.

Le volley et ma famille c'est tout ce que j'ai. Je mets une ténacité et une détermination inébranlable dans ces deux choses qui constituent la globalité de ma vie lycéenne. Avec mes allures d'insolence et mon regard perçant, je donne tout ce j'ai pour faire vibrer un peu plus ma passion. Je prends soin de ces choses parce qu'elles me sont chères, elles représentent mon monde et fonctionnent comme l'essence même de mon existence. Malgré tout, j'aime mon indépendance, ce côté sauvage que j'aime entretenir dans la séduction ou sur le terrain. C'est ce côté dangereux et narquois qui forme ma manière de jouer. Cette sérénité malsaine aux sourires moqueurs et à la motivation flamboyante.



• HISTOIRE :


Je rentrais seulement de l'entraînement quand la cacophonie me sortait de mes songes. Je remarquais toutes les paires de chaussures rangées dans l'entrée avant de soupirer dans un sourire amusé. Quand ils étaient tous là, il y avait toujours du bruit dans la maison. On pouvait entendre Miya et Rui courir à travers les couloirs de l'étage, quelques rires, quelques cris, quelques fracas anodins de leurs imaginaires d'enfants. Yumi qui, lorsqu'elle n'était pas sur mon dos à déverser ses avalanches de questions, téléphonait avec la fâcheuse habitude de parler plus fort qu'elle ne le devrait, occupant à elle seule une pièce entière. Suzaku endormi devant la télévision, harassé par ses journées au boulot, ronflant sans peine. Ouais, il y avait toujours de l'animation ces jours-là, il n'y avait pas plus bordélique, pas plus bruyant, mais il souriait toujours quand on était tous réunis. Mon père avait toujours été un homme malheureux, il laissait le temps panser ses blessures, donnant son âme à l'amour comme un adolescent naïf qui n'abandonne jamais. Il avait aimé trois fois mais ça n'avait jamais égalé l'affection qu'il portait à ses enfants. Il avait ce regard pétillant quand il posait ses yeux sur nous, une petite lueur sur ses traits stricts et froids, comme si rien d'autre n'avait d'importance. Vieux loubard des temps modernes, il avait été populaire toute sa vie, il avait suivi un chemin un peu cliché mais qui semblait lui convenir à cette époque-là. Il était tombé amoureux rapidement, peut-être un peu trop. Ça avait été une passion intense, le genre de relation explosive, le genre fougueuse et insatiable, celle qu'on a quand on est trop jeune. Elle était tombée enceinte, et Suzaku fut son aîné, son premier fils et ses premiers pas dans le rôle de père. Il s'était toujours senti prêt pour ça, comme si c'était la seule vocation qu'il attendait. Elle partie quelques années plus tard, prenant la garde de Suzaku et l'abandonnant à la solitude. Je m'approchais du ronfleur pour lui boucher le nez et attendre qu'il se réveille en sursaut, un sourire narquois sur mes lèvres.

« Oya, oya, éteins la télé si tu dors. »

Je lui tirais la langue alors que le pauvre se remettait de ce réveil soudain, il hésita pour me courir après avant d'abandonner et de grommeler quelques mots en se retournant. Il posa un coussin sur sa tête et reprit les ronflements comme si de rien n'était. Je soupirais, éteignais la télévision avant de jeter un œil dehors. Il lisait le journal, attendant que le soleil ne s'éteigne doucement. Mon père était un scientifique moyen, il ne consacrait pas énormément de temps à son métier, préférant jouir d'une vie loin de la banalité. Ce qu'il voulait, c'était simplement voguer sur les plaisirs d'une existence qu'il fantasmait chaque nuit. Quand il rencontra ma mère, ce fut un coup de foudre. Transcendé par ses longs cheveux noirs, ses yeux aux longs cils et à la couleur vive, artiste dans l'âme elle l'avait initié à un monde qui lui était inconnu. Il nous disait toujours qu'ils étaient si différents qu'il ne pouvait avoir que lui pour la comprendre et qu'elle pour l'aimer. Je me dirigeais vers la cuisine pour réchauffer l'assiette qu'ils avaient laissé pour moi tandis que Yumi raccrochait à peine. Je sentais déjà ses yeux peser sur moi et je pouvais imaginer le sourire malsain qui se dessinait sur ses lèvres.

« Tes cheveux sont encore plus ébouriffés que d'habitude. Ça te donne un air rebelle, c'est pas comme ça que tu sortiras avec une fille. »

Elle s'était avancée pour secouer sa main sur mon crâne. Elle avait dû se mettre sur la pointe des pieds, presque sautillant pour pouvoir le faire. L'air taquin et malicieux sur le visage, elle me souriait. Je m'asseyais pour manger en soupirant, me laissant faire trop las pour rétorquer quoique ce soit. De toute manière, si je disais quelque chose, elle me sauterait dessus. Elle avait toujours eu ce débordement de vie et l'éloquence qui allait avec ses airs d'insolence. Pourtant, nos parents s'étaient toujours accordés pour dire que j'étais le plus turbulent de nous deux. Ils ont eu Yumi d'abord, puis quelques années plus tard, ce fut mon tour. J'ai toujours pensé qu'il n'y avait pas plus heureux que nous. Oscillant entre les taquineries, les moments de jalousie, les rires, les larmes, tout ce qui constitue ce sentiment chaleureux d'une famille. Yumi avait pour habitude de m'envoyer des bulles pour que je les éclate en plein vol. C'était notre jeu favori, à chaque fois, persuadé de pouvoir en attraper une, je tendais les mains et elle riait dès qu'elle explosait juste devant moi. Je n'arrivais jamais à souffler assez doucement pour les faire, alors j'étais toujours celui qui devait les attraper. Tout se prenait au jeu, tellement que ça devenait un moyen de me calmer, d'occuper mon enfance encore extasiée à la découverte. On habitait encore le centre-ville quand elle est tombée malade. Puis tout est allé si vite. Peu à peu, il y avait moins de rire dans la maison, moins de chamaillerie, très vite il y eut un silence qui s'est installé. Une sorte de mur entre nous, on grandissait, le temps filait entre nos doigts et ne subsistait alors qu'un vide étrangement attractif. Sa santé s'est dégradée de jour en jour et quelques années plus tard, elle est partie. Tout est devenu si silencieux. C'était la première fois que j'endurais l'atroce douleur d'une véritable peine. Cette tristesse indicible qui serre la poitrine et transperce l'abdomen, ce hurlement muet qui s'attache à des souvenirs flottants. C'était comme les petites bulles, toutes ces images flottaient et à chaque fois que je tendais la main, elles explosaient, laissant un arrière goût d'une nostalgique mélancolique. On a quitté la ville un an après, peut-être qu'il n'y avait que la fuite pour surpasser ça.

Je rangeais mon assiette et terminais de parler avec ma sœur avant d'aller prendre ma douche. J'avais pris mes marques dans ce nouveau départ et c'était là où je me sentais chez moi depuis longtemps maintenant. Quand on a déménagé la vie avait continué dans un étrange climat, le quotidien s'était installé doucement et il y avait l'excitation d'un nouveau départ qui se formait pour nos existences alourdies. On avait eu le temps de retrouver quelques-uns de nos sourires, gommant nos souffrances avec la pommade du temps et relevant la tête pour voir plus loin. Mon père s'était plongé dans le travail, Yumi elle, elle s'est repliée sur elle-même pour se concentrer sur l'école et moi, je me suis consacré au sport. J'avais toujours été dans les plus grands de mon âge. Plutôt sportif, c'était l'une des rares choses que je pouvais partager avec Suzaku quand il était dans le coin. Ça avait toujours rendu mon père heureux de nous voir jouer ensemble, quelque part je me suis dis que ça aiderait si je pouvais le rendre fier. Que ça m'aiderait aussi peut-être. Je me suis rapidement imposé dans l'équipe de volley grâce à ma taille. Quand j'entrais dans le gymnase, j'y retrouvais cette chaleur que ma famille avait perdu. Il y avait ce bruit constant de chaussures qui glissaient sur le parquet ciré, le bruit des ballons qui rebondissaient et tapaient sur le sol, ses cris qui fusaient dans tous les sens et dès que l'on perdait sa concentration on ne savait plus où donner de la tête. Au-dessus de nous planait l'insouciance et cette volonté d'acier qui pouvait surmonter n'importe quoi. C'est pour ça que j'ai persévéré, que j'ai apprécié ce sport plus que je ne l'aurais moi-même cru. La sensation du ballon entre mes doigts, ce sentiment d'unité, c'était comme un repère réconfortant que je retrouvais. Quelque chose que j'avais cru perdre à tout jamais quand elle est partie. J'avais enfilé un jogging et un t-shirt en sortant de ma douche, soufflant quelques minutes dans la nonchalance, allongé sur le dos sur l'étendue de mon lit. Je fermais les yeux un instant, noyé dans un flot de souvenir constant.

J'avais rencontré Kenma peu de temps après notre emménagement. Il était plus jeune d'un an mais il habitait pas loin de chez nous. Il avait été ma première rencontre dans la banlieue, quelqu'un avec qui je pouvais jouer dès qu'il n'y avait pas école. C'était une époque où il ne faisait pas vraiment bon vivre à la maison, Yumi était toujours occupée, Suzaku venait de moins en moins et mon père travaillait beaucoup. Je n'avais jamais supporté la solitude, tout était devenu si calme que je faisais tout pour me sortir de ce silence funeste. Je ne laissais pas vraiment le choix à Kenma, le tirant un peu partout même s'il avait le nez collé à un jeu vidéo. Il n'était pas du genre bavard pourtant, il râlait toujours avec la même expression sur le visage dès que je le forçais à jouer au volley. On a grandi ensemble, on partageait le volley même si j'étais le plus enthousiaste des deux, déjà à prévoir des stratégies pour l'avenir, excité par ce simple sport qui avait prit une dimension énorme dans mon existence. Je veillais la nuit pour regarder les matchs, je me planquais sous ma couverture pour lire et apprendre, je perfectionnais mes réflexes en poussant toujours plus loin. Je me suis développé autour de cette passion qui arrivait à me faire oublier, à me faire avancer. C'était quelque chose d'important et j'avais toujours l'impression de frôler l'onirisme de mes rêves. Je redressais mon corps, ouvrant mes yeux avec le sentiment de m'être endormi alors que je ne m'étais assoupi que quelques minutes. Miya et Rui étaient devant ma porte, Miya se précipita sur mon lit, sautillant dessus et avant que je ne puisse dire quoique ce soit, Rui envoyait déjà le ballon sur elle. Miya frappait dans le ballon en me visant, il rebondissait sur mon crâne et les deux gamins hurlaient déjà à la victoire. Jouant le jeu dans une prestation d'acteur pitoyable, j'attrapais le ballon pour leur lancer doucement dessus tandis qu'ils fuyaient le rire aux lèvres.

Mon père s'était remarié dans une tentative vaine de retrouver une époque oubliée. C'est à cette époque-là que Miya et Rui sont nés. Des faux-jumeaux agrandissant notre famille recomposée, ça a fait un vide quand mon père et leur mère se sont séparés. Ils n'étaient là que de temps en temps et ça occupait le paternel, le sortant de ses quelques faiblesses d'Homme et de sa torpeur routinière. J'ai continué de grandir aux côtés de Kenma et de cette famille un peu éparpillée. Avant même que je ne m'en rende compte, la pluie s'était arrêtée et l'air était agréable. Yumi avait reprit son rôle de grande sœur, je vivais le quotidien du collège entre mes bêtises juvéniles et le volley, et même mon père retrouvait sa joie de vivre, tout semblait reprendre un second souffle quand j'entrais enfin au lycée. Je terminais de jouer avec Miya et Rui pour ranger mes affaires et m'assurer de ne rien oublier pour demain. Je préparais le survêtement du lycée en repensant à mes débuts. J'avais été accepté dans l'équipe de Nekoma, c'était un club avec encore un bon niveau. Je n'étais qu'un première année mais j'avais réussi à me faire une place sur certains matchs, me donnant surtout à fond lors des entraînements toujours soucieux de progresser. C'était une année un peu difficile, il y avait beaucoup de pression et beaucoup de bons joueurs. À vrai dire, j'avais vraiment hâte que Kenma soit là. On jouait ensemble au volley depuis tout petit, j'étais pressé d'affronter tous ces adversaires qui j'allais rencontrer. J'adorais ce défi constant, ces instants où tout pouvait se jouer, lorsque je sautais pour smasher le ballon ou encore quand je devais choisir le timing du contre. Il y a quelque chose de spécial dans ce sport, quelque chose d'incroyable qui me poussait toujours à graviter autour.

J'étais titulaire lors de ma deuxième année et toute la pression était retombée sur Kenma. Il n'avait jamais eu un physique taillé pour le sport, mais il avait un énorme potentiel pour s'imposer en tant que passeur. Les terminales étaient durs avec lui, ils l'ont poussé, peut-être un peu trop. J'avais rassemblé les premières et les secondes autour de Kenma car je savais qu'on pouvait construire une équipe capable de gagner. C'était un rêve qu'on partageait tous, on avait des raisons différentes, mais on jouait pour ce plaisir intense de se surpasser, de battre nos adversaires et de rester sur le terrain aussi longtemps que possible. C'était tout ce qui importait au final, garder le ballon en l'air pour jouer encore et encore, pour ne plus penser à rien d'autre que cette passion, à n'être rien d'autre qu'un bloc uni. Je descendais l'escalier pour retourner dans le salon et aller dehors. Il était encore là, calme et silencieux, plongé dans son journal qu'il semblait lire et relire sans aucune pause. Il tourna la tête pour me sourire quand il me vu arriver.


« Tu es prêt pour ton match de demain ? »

« Oui. Cette année, on ira aux nationales. »

J'avais toujours été déterminé pour le volley. J'aimais son regard plein de fierté et ses sourires joyeux qui ponctuaient l'engouement de mes phrases.

« Donne toi à fond. »

Il souriait et il reprit sa lecture paisiblement. Demain il y avait notre premier match d'entraînement. J'entamais ma dernière année et ma dernière chance d'atteindre les sommets et je ne m'étais jamais autant senti prêt pour affronter ce que je désirais appeler ma destinée. J'avais pris la place de capitaine et notre équipe était bien en place. Peu à peu le silence prenait le dessus dans la maison, les deux plus jeunes étaient couchés, Suzaku dormait déjà depuis un moment et Yumi était sortie. Les lumières s'éteignaient et je m'endormissais dans l'excitation du match de demain. Cette année nous gagneront car comme dans une famille, on est uni, on est lié.

*On est comme le sang, on s'écoule sans encombre et on fait circuler l'oxygène pour que le cerveau puisse fonctionner.*




END OF THE MATCH


PRENOM / PSEUDO → Kuroo.
ÂGE → 24 ans.
SEXE → Mâle.
PRESENCE SUR LE FORUM → 5/7  
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM → Google.
MOT DE LA FIN → Pingouin.


© Kuroo


Dernière édition par Kuroo Tetsurô le Mer 2 Nov - 17:36, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 11:51
Bienvenue !! Amuse toi bien sur le fofo !
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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 13:29
Bienvenuuuue ! \o
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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 17:38
Merci *.* !

Je pense avoir terminé, dites moi s'il faut que je change ou rajoute des trucs. Je suis allé un peu vite et j'étais crevé, du coup je suis désolé si la qualité n'est pas à son top !

Je vous remercie d'avance pour le temps que vous consacrerez à la lecture et tout, en espérant que ça vous plaise quand même ♥ !
Invité




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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 18:46
Je quitte le rôle de mon personnage désagréable pour te souhaiter la bienvenue sur le forum !
Sympathique présentation, j'ai beaucoup aimé en tout cas-. J'espère que tu te plaira bien par ici et que tu sentiras à l'aise.

Invité




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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 18:49
Merci ♥ !
Invité




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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeMer 2 Nov - 19:12

Félicitations !
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Te voici officiellement membre du forum!


(Normalement je suis censé faire un commentaire sur ta fiche à cette endroit mais comme je vois aucun soucis ben j'en fais pas. Voilà. Bisou. (Maintenant si Kageyama veut faire un commentaire, il peut xD)

Maintenant que tu vas avoir ta superbe couleur, tu vas pouvoir aller recenser ton avatar (s'il s'agit d'un personnage hors-manga) ici, mais aussi faire ta fiche de relations et ton portable (si tu le souhaites, bien entendu!) et ! Autrement, n'hésites pas à aller solliciter les membres par mp pour un rp ou en faisant ta demande officielle, dans ce topic!

AMUSE-TOI BIEN PARMI NOUS ♥



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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitimeJeu 3 Nov - 3:04
Merci beaucoup Very Happy !
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MessageSujet: Re: Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Kuroo Tetsurô ♦ Oya oya oya ? [terminée] Icon_minitime
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